Résumé:
"Dans un environnement doté d’une concurrence affreuse, le Maroc a besoin, plus que
jamais, d’un secteur de transport concurrentiel et dynamique afin d’accompagner
l’évolution économique que connait notre pays depuis quelques années.
En effet, le secteur du transport représente 6% du PIB et 9% de la valeur ajoutée du
secteur tertiaire, il emploie 10% de la population active urbaine, et a connu une
véritable croissance depuis l’année 2000 (sa valeur ajoutée est passée de 19,6 milliards
de dirhams en 2000 à 33,8 milliards de dirhams en 2011, soit une croissance annuelle
moyenne de 5%).
En outre, le transport de marchandise par voie routière est incontestablement
nécessaire au bon fonctionnement du tissu productif, à cause de sa présence comme
secteur d’appui au niveau de tous les maillons de la chaine de valeur, il assure 75% des
flux des marchandises hors phosphate contribuant ainsi à la croissance nationale, et
même à l’intégration de l’économie nationale dans l’économie mondiale.
Cependant, le transport des matières dangereuses fait partie des formes de transport les
plus critiques a cause des risques qu’il présente pour les intervenants qui l’assurent et
pour l’environnement, il est régi par des accords internationaux fixant les règles de ce
secteur d’activité. En plus, le transport de marchandises dangereuses reste relativement
peu développé en raison de sa structure souffrante d’une mauvaise gestion, de ses
infrastructures vétustes et de son coût élevé.
Pour surmonter ces handicaps, notre pays s’est engagé, depuis 2000, dans un processus
de développement afin de mettre à niveau ce secteur pour qu’il assure son appui à
l’activité économique nationale." - L'auteur
Lien de Téléchargement
"Dans un environnement doté d’une concurrence affreuse, le Maroc a besoin, plus que
jamais, d’un secteur de transport concurrentiel et dynamique afin d’accompagner
l’évolution économique que connait notre pays depuis quelques années.
En effet, le secteur du transport représente 6% du PIB et 9% de la valeur ajoutée du
secteur tertiaire, il emploie 10% de la population active urbaine, et a connu une
véritable croissance depuis l’année 2000 (sa valeur ajoutée est passée de 19,6 milliards
de dirhams en 2000 à 33,8 milliards de dirhams en 2011, soit une croissance annuelle
moyenne de 5%).
En outre, le transport de marchandise par voie routière est incontestablement
nécessaire au bon fonctionnement du tissu productif, à cause de sa présence comme
secteur d’appui au niveau de tous les maillons de la chaine de valeur, il assure 75% des
flux des marchandises hors phosphate contribuant ainsi à la croissance nationale, et
même à l’intégration de l’économie nationale dans l’économie mondiale.
Cependant, le transport des matières dangereuses fait partie des formes de transport les
plus critiques a cause des risques qu’il présente pour les intervenants qui l’assurent et
pour l’environnement, il est régi par des accords internationaux fixant les règles de ce
secteur d’activité. En plus, le transport de marchandises dangereuses reste relativement
peu développé en raison de sa structure souffrante d’une mauvaise gestion, de ses
infrastructures vétustes et de son coût élevé.
Pour surmonter ces handicaps, notre pays s’est engagé, depuis 2000, dans un processus
de développement afin de mettre à niveau ce secteur pour qu’il assure son appui à
l’activité économique nationale." - L'auteur
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