" L’introduction systématique des méthodes statistiques dans le domaine
d’échantillonnage est survenue suite à la première guerre mondiale. Un des pionniers dans ce
domaine fut Monsieur Pierre GY, ingénieur des mines qui publia en 1953 un ouvrage sur la
théorie d’échantillonnage. Si d’ordinaire, le travail d’un ingénieur est avant tout technique,
l’originalité de ce type de travail est qu’il demande une très bonne approche en terme de
relation humaine, c’est ainsi que les premières semaines du travail ont été consacrées
essentiellement à la découverte de l’entreprise et à l’étude du process.
Notre étude s’inscrit dans l’optique de vérifier la fiabilité de la méthode
d’échantillonnage utilisée dans l’usine de traitement du minerai d’argent et de trouver une
méthode de prélèvement plus représentative présentant un rapport d’erreur plus fiable, elle a
pour objectif d’effectuer une étude globale depuis le prélèvement d’échantillon jusqu’à
l’obtention du résultat finale par la spectroscopie d’absorption atomique. Notre travail
débutera par une étude sur tous les points de contrôle concernant les parties de
broyage/gravimétrie, flottation et cyanuration. Par l’application des tests statistiques sur la
normalité des distributions, on va limiter nos études sur les points qui sont significativement
différents de cette loi c'est-à-dire qui présentent des problèmes aux niveaux de la
représentativité des échantillons.
La première étude nous a ramené à effectuer des études de vérification selon la norme
NFX 06-021 sur les flux des points où on a détecté des problèmes d’hétérogénéité, ainsi des
études sur l’évaluation des méthodes d’analyse, dans l’objectif de voir si l’erreur vient du
laboratoire ou de la nature du minerai.
Pour déterminer une méthode qui permet d’avoir un échantillon représentatif, nous
avons effectué une étude de comparaison entre trois méthodes (agitation, diviseur, filtration).
A la fin de ces études on a essayé d’appliquer la formule de Pierre GY, qui permet de prédire
la précision relative d’un échantillon pour représenter la teneur d’un lot donné en fonction de
la taille des fragments, de la masse de l’échantillon et du lot, et de différents paramètres
minéralogiques et granulométriques.
D’après ce rapport, nous présenterons la partie théorique qui regroupe les différentes
techniques d’analyse et les outils statistiques utilisés, qui feront l’objet de la partie
expérimentale et nous finirons par une conclusion générale "
Lien (google Drive)
(Il faut s'assurer d'abord que vous êtes connecté à un compte Gmail ou google Drive avant de cliquer sur le lien)
d’échantillonnage est survenue suite à la première guerre mondiale. Un des pionniers dans ce
domaine fut Monsieur Pierre GY, ingénieur des mines qui publia en 1953 un ouvrage sur la
théorie d’échantillonnage. Si d’ordinaire, le travail d’un ingénieur est avant tout technique,
l’originalité de ce type de travail est qu’il demande une très bonne approche en terme de
relation humaine, c’est ainsi que les premières semaines du travail ont été consacrées
essentiellement à la découverte de l’entreprise et à l’étude du process.
Notre étude s’inscrit dans l’optique de vérifier la fiabilité de la méthode
d’échantillonnage utilisée dans l’usine de traitement du minerai d’argent et de trouver une
méthode de prélèvement plus représentative présentant un rapport d’erreur plus fiable, elle a
pour objectif d’effectuer une étude globale depuis le prélèvement d’échantillon jusqu’à
l’obtention du résultat finale par la spectroscopie d’absorption atomique. Notre travail
débutera par une étude sur tous les points de contrôle concernant les parties de
broyage/gravimétrie, flottation et cyanuration. Par l’application des tests statistiques sur la
normalité des distributions, on va limiter nos études sur les points qui sont significativement
différents de cette loi c'est-à-dire qui présentent des problèmes aux niveaux de la
représentativité des échantillons.
La première étude nous a ramené à effectuer des études de vérification selon la norme
NFX 06-021 sur les flux des points où on a détecté des problèmes d’hétérogénéité, ainsi des
études sur l’évaluation des méthodes d’analyse, dans l’objectif de voir si l’erreur vient du
laboratoire ou de la nature du minerai.
Pour déterminer une méthode qui permet d’avoir un échantillon représentatif, nous
avons effectué une étude de comparaison entre trois méthodes (agitation, diviseur, filtration).
A la fin de ces études on a essayé d’appliquer la formule de Pierre GY, qui permet de prédire
la précision relative d’un échantillon pour représenter la teneur d’un lot donné en fonction de
la taille des fragments, de la masse de l’échantillon et du lot, et de différents paramètres
minéralogiques et granulométriques.
D’après ce rapport, nous présenterons la partie théorique qui regroupe les différentes
techniques d’analyse et les outils statistiques utilisés, qui feront l’objet de la partie
expérimentale et nous finirons par une conclusion générale "
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